A little party never killed nobody (Alkyòne)

A little party never killed nobody

ft.  @Alkyòne Psarà

Une soirée prévue à Zaun, le genre que tu ne rates pas. A vrai dire, tu ne sais jamais s'il s'agit vraiment de soirées ou simplement d'une nuit ordinaire à Zaun. T'as fini par remarquer qu'il n'y a pas vraiment de logique là-bas et ça ne t'étonne pas quand tu vois comment y vivent les gens. C'est un endroit misérable, horrible, inéquitable par rapport à Piltover. Pourtant, tu sais que tout le monde n'en est pas malheureux et même les Zauniens ont appris à en tirer profit. Toi, en tout cas, tu n'entres pas dans ces débats concernant la place de Zaun et ses conditions. Toi, tu prends ce que la ville a à t'offrir et Dieu sait que tu en profites bien. On pourrait croire qu'un être aussi ancien que toi serait plus sage, mais la sagesse n'est pas une question d'âge. D'ailleurs, qui peut dire que profiter de ce genre de moments n'est pas de la sagesse ? Tu t'habilles à l'image de Zaun, dans un style un peu décalé, avant de t'y déplacer. Tu t'amuses à attirer les regards de certains Piltoviens bien nés et bien habillés. Tu ne te soucies plus du regard des autres depuis longtemps, pas quand tu sais que dans plusieurs années ils seront morts et pas toi. Dans quelques années, leur jugement n'aura aucune valeur, bien qu'elle n'en ait aucune à l'heure actuelle. Tu rejoins l'entresol où se passe la dite soirée, non loin d'une maison close que tu connais bien pour t'y être rendu plusieurs fois déjà. Tu sais que tu n'as pas besoin de payer pour coucher, mais c'est parfois bien plus pratique. En plus, tu participes au salaire de quelqu'un alors ce n'est pas si mal. Pour l'heure, ce n'est pas ce que tu es venu chercher. Non, pour l'instant, tu te rends dans ce bar qui a décidé d'organiser une petite soirée et tu ouvres les portes, impatient.

Immédiatement, un mélange de transpiration, d'alcool, de fumée et une autre odeur que tu ne saurais définir exactement arrive jusqu'à tes narines. Signe que la soirée a bien commencé, signe que tu vas bien t'amuser. Tu entres alors, te mêlant à la foule présente. Il y en a qui boivent, d'autre qui ont déjà bien bu vu leur état. Il y a ceux qui dansent et ceux qui commencent à se gueuler dessus pour préparer une baston. Il y a ceux qui sont seuls et tristes, ceux qui s'embrassent à pleine bouche et qui finiront bien la soirée. Il y a ceux qui sont défoncés et dans un autre monde et ceux qui refilent de quoi finir dans ce même état. Une soirée à Zaun classique, le genre où tu peux enfin tout oublier l'espace d'un instant. Plus de culpabilité, plus de rôle et encore moins d'âge vénérable. Ici, ce soir, tu n'es que Sokkar, un débauché comme les autres, un addict qui n'a pas envie de se soigner. Tu te diriges vers le bar, reconnaissant vaguement quelques visages, avant de t'asseoir sur un tabouret. La musique retentit, fort, le genre entraînante et qui te pousse à t'amuser. Les Piltoviens ont tendance à regarder Zaun de haut et bon sang ce qu'ils ont tort. Il y en a de toutes les régions ici, tout le monde profite. L'hypocrisie Piltovienne est présente aussi puisque tu en vois quelques-uns parmi la foule, de quoi t'arracher un sourire amusé.

En regardant la salle, tu reconnais un visage familier. Une jolie jeune femme qui semble s'amuser à laisser un homme la draguer. Tu dirais que c'est un Noxien à sa façon de s'habiller. D'humeur taquine, tu commandes deux verres auprès de la barmaid avant de t'approcher du joli petit couple. Une fois à leur niveau, tu t'approches très près pour les déranger. « C'est bon j'ai ton verre chérie ! Tiens, tu t'es trouvé un beau mec pour t'amuser ? N'oublie pas de partager hein ! » Un clin d'œil auprès du Noxien et le voilà s'éloigner en se cherchant des excuses, visiblement pas intéressé par un plan à trois ou bien trop intimidé pour ça. Tu ne peux pas t'empêcher de rigoler alors avant de faire face à Alkyòne qui doit t'en vouloir un peu. « Désolé, c'était beaucoup trop tentant ! Tiens, pour me pardonner. » Tu lui tends un de tes deux verres, tu sais qu'elle s'en remettra vite. Elle n'a pas besoin de faire beaucoup d'effort pour se trouver quelqu'un avec qui passer la soirée la demoiselle, belle comme elle est. Toi tu préfères les corps masculins, mais tu reconnais la beauté féminine et il t'arrive même parfois d'y goûter. Le privilège de l'éternité, c'est d'élargir l'horizon de ses goûts et plaisirs. « J'me doutais que tu serais ici. Non, la vérité c'est que je l'espérais. » Tu n'as pas besoin de quelqu'un pour t'amuser, mais tu dois bien avouer que tu t'amuses bien plus quand c'est avec Alkyòne. Elle et Horazi, la Darkin. Une des seules que tu apprécies vraiment parmi les Sunborn d'antan. Une des seules à ne t'avoir jamais dénigré. Bien changée aujourd'hui et pourtant, pas complètement. ? Du moins pas à tes yeux. « Alors, dites-moi mademoiselle, accepterez-vous que je vous tienne compagnie ce soir ? Jusqu'à, bien sûr, qu'une personne plus intéressante que ce Noxien vous vole à moi. » Le ton faussement poli que tu emploies et encore plus ironique quand on voit le large sourire amusé que tu arbores, mais la demande est sincère. Tu ne passeras la soirée avec elle que si elle est d'accord. Le verre tendu, tu n'attends que sa réponse pour commencer à boire.

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ft.  @Alkyòne Psarà

La vérité, c'est que tu n'étais jamais vraiment capable de savoir qui dit Horazi ou Alkyone se trouvait face à toi. Toi, tu ne voyais qu'un corps après tout. Il fallait commencer à parler avec elles pour que tu finisses par comprendre qui était là. Alors oui, Horazi prenait plus de place en général, mais tu avais vu Alkyone plusieurs fois malgré tout. La Darkin et l'humaine. Tu ne les plaignais pas, ces hôtes. On aurait pu dire qu'ils étaient à plaindre étant donnés qu’ils partageaient un corps avec des monstres, mais il en était de même pour les Aspects après tout. Certes, on parlait de Célestes dans leurs cas, mais les Dieux n'étaient pas plus cléments que les Darkin. Ils étaient tous deux cruels, chacun à leur façon. Le seul que tu pouvais plaindre, c'était Vaelar qui maintenait Aatrox tant bien que mal. Cela dit, tu n'aurais pas vu meilleur hôte pour cet enfoiré de merde. Horazi, tu l'aimais bien malgré tout, tu l'appréciais et tu aimais passer du temps avec elle. Surtout dans ce genre de moments. Qui d'autre était capable de se laisser autant aller que toi ? Tu ris à sa remarque et t'es heureux, quelque part, d'avoir pu sauver un pauvre innocent qui ne cherchait que du bon temps. Tu n'avais encore jamais eu à te mettre entre elle et une proie jusque là, tu ne t'intéressais pas au destin de chacun pour te sentir mal sur le fait qu'elle ait pu tuer ou pas. Cela dit, si ça arrivait devant toi, tu serais obligé d'intervenir et tu ne sais pas quelle serait l'issue alors. Peu importe, pour l'heure, tu voulais juste oublier et t'amuser. C'était le but de ce genre de soirée après tout, non ? La voilà qui se colle à toi, charmeuse mais surtout joueuse. Tu n'étais pas gêné par cette proximité, par ce jeu. Pas avec elle. Plus maintenant.

Puisqu'elle accepte ta proposition, tu tends ton verre vers tes lèvres tout comme elle et boit les premières gorgées de la soirée. T'as à peine le temps de finir ta cinquième gorgée que te voilà tiré par le poignet jusqu'à un canapé en cuir dans lequel elle se pose. Tu t'assois à côté d'elle, posant ton verre devant toi avant de répondre à son geste tandis qu'elle glisses ses doigts dans les tiens. Tu remarques que le Noxien te jette un regard noir et ça t'amuses plus que ça ne t'effraie. Il est jaloux visiblement, il aurait aimé être à ta place, mais s'il savait. S'il comprenait qu'avec lui ce serait bien différent. Tu reportes ton attention sur ta compagne pour la soirée, attrapant ton verre pour boire quelques gorgées à nouveau. Tu ris à ses mots, sachant d'avance que tu vas la décevoir quand elle comprendra que tu es loin d'avoir une vie trépidante.

« Comment ? La patronne de Glasc Industries sait ce qu'est une mauvaise semaine ? J'en suis bouche bée ! » D'accord, l'ironie est beaucoup trop appuyée, mais tu n'as pas pu t'en empêcher. Tu sais qu'ici, c'est comme ça que les gens la voit ou du moins, la plupart. Qui ne connaît pas ses produits ? Tu t'affales à ton tour dans le canapé, te laissant légèrement tomber, ta tête venant s'appuyer sur son épaule. « Désolé ma belle, j'ai pas grand chose en stock pour toi. A moins que tu veuilles entendre le fabuleux récit de comment j'ai soigné la diarrhée fulgurante d'un client grâce à des plantes. » C'est pas aussi glamour que ce dont elle à l'habitude, mais c'est ça ta vie après tout. Tu ne sais pas encore, à ce moment là, que quelqu'un va la bouleverser. Non, toi, pour le moment, t'es juste là à vouloir te mettre une mine. Tu te rends d'ailleurs compte que t'as fini ton verre et tu fais signe à la barmaid au loin pour en avoir deux nouveaux. « Dis-moi Horazi. » Oui, t'es sûr de t'adresser à elle. Alkyone ne serait pas aussi tactile avec toi, pas aussi à l'aise. « Ça fait quoi de devoir partager le corps de quelqu'un ? » D'habitude, vous avez ce genre de discussions sérieuses après bien plus de verres que ça. Peut-être qu'à force, t'es devenu plus proche d'elle que tu le pensais. Peut-être qu'elle devient une amie et pas juste une pote de débauche. T'as envie de savoir, de comprendre. Tu te demandes si elle est triste même si elle ne le dira jamais. Peut-être que quelque part, tu te fais du souci pour elle. Peut-être même que tu t'en fais pour toutes les deux.

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ft.  @Alkyòne Psarà

Elles t'amusent ces filles, bien plus que la plupart des gens d'ailleurs. Tu ne sais pas si tu leurs rend bien la pareille. C'est vrai qu'une fois saoul ou défoncé, tu es sans doute beaucoup plus drôle, mais sobre tu gardes constamment cet air avec toi. Ce quelque chose qui te donne l'air de te foutre de tout ou presque. Le pire, c'est que ce n'est pas qu'un air. C'est une des raisons qui fait que tu aimes autant tes soirées de débauches. Les choses deviennent plus amusantes dans ces soirées. Tu ne te rends pas compte à quel point, quelque part, c'est triste. Pour l'heure, tu te concentres seulement sur ta compagne avec qui tu bois et tu ris. Jusqu'à ta question. Peut-être qu'elle est trop intime. L'expression hilare de son visage te contredit là-dessus et tu ris à sa remarque. On ne peut pas dire que tu comprennes vraiment. En tant que Sunborn, il n'y a que toi et il n'y a toujours eu que toi. Ton poids à toi est autre, c'est celui de la longévité, de l'éternité. Sa réponse te déçoit un peu et tu finis ton verre à ton tour avant d'en prendre un nouveau. Faible, bien sûr qu'elle l'est. Alkyone est une humaine, Horazi une Darkin. La différence est énorme entre les deux. Est-ce que ça veut dire qu'elle se sent diminuée ? Coincée ? « Comment ça ? » Sans te répondre, tu observes ta main qu'elle retourne et regarde avec admiration sa magie en action. Si certains trouveraient ça effrayants, toi tu trouves ça magnifique. Tu n'as pas souvent assisté à la magie des Darkin, mais ça a quelque chose de fascinant, d'unique. Une magie dangereuse, très dangereuse que tu n'aimerais pas à avoir à affronter vraiment.

La réponse, la vraie, arriva finalement. Loin de te satisfaire, elle eut un goût de compassion et de culpabilité. Tu t'en voulais de lui avoir posé la question finalement, mais surtout, tu avais de la peine pour ce qu'elle pouvait ressentir. Bien sûr que son corps lui manquait, comment il pourrait en être autrement ? Tu te mords la lèvre avec un peu de remord et soudain, tu vois l'expression de la femme face à toi changer. L'intonation aussi quand elle reprend la parole. Alkyone ? Tu crois, mais tu n'arrives jamais à être totalement sûr. Tuas fait fuir Horazi et tu t'en veux. « Désolé, je ne voulais pas... » Pas la blesser, pas la peiner. Heureusement, Alkyone retourna la situation et c'était à ton tour de répondre désormais. Tu bois quelques gorgées de ton verre, sans doute que tu deviendrais amusant plus vite en étant bourré plus rapidement.

« L'éternité, c'est... » Comment décrire ? Comment expliquer sans l'avoir vécu ? « Déprimant ? » Comme si elle pouvait te donner la réponse. Tu ris, pour cacher le malaise, pour cacher la douleur associé à ce terme, à ce poids. « Certains rêvent de devenir immortels, mais ils ont tort. Bien sûr on a le temps de découvrir un tas de choses et de vivre un grand nombre d'expériences. Le prix à payer, c'est de voir tout le monde mourir autour de soit sans rien pouvoir y faire. C'est de continuer à avancer au milieu de fantômes. » Ton regard s'était perdu dans le vide pendant ton discours. Il n'y avait pas que ça bien sûr, mais c'était ce qui te pesait le plus à toi. Tu finis par reprendre pied, reportant ton attention sur Alkyone à côté de toi avant de finir ton verre d'une seule traite et d'en reprendre encore un autre. « Bon, si on continue comme ça, cette soirée va vraiment mal finir. » Vous n'êtes pas là pour déprimer après tout, vous êtes là pour vous amuser. Tu te lèves et tends la main à ton amie, un sourire taquin sur les lèvres. « Allons rejoindre la piste ma belle. » En chemin, tu attrapes le verre que t'avais demandé pour boire encore un peu. Une fois au milieu de la foule en sueur, tu commences à bouger au rythme de la musique. Ta main libre se pose sur la hanche de Alkyone alors que tu la regardes dans les yeux avec toujours cet air joueur. « On va mettre une règle en place. A partir de maintenant, chaque fois que l'un de nous posera une question, il ou elle devra prendre un shot. » T'es obligé de parler fort pour qu'elle t'entende, mais t'es certain qu'elle aimera l'idée. « Par exemple, pourquoi t'aimes bien passer des soirées en ma compagnie ? » Tu fais une mine faussement surpris, comme si tu venais de te rendre compte d'avoir perdu à ton propre jeu. « Oups ! » Et hop, tu bois le reste de ton verre cul-sec.

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ft.  @Alkyòne Psarà

T'es pas du genre dépressif, mais tu dois reconnaître qu'il t'arrive parfois de plomber l'ambiance et c'est exactement ce que tu viens de faire. C'est pour ça qu'il fallait que tu te rattrapes. Vous étiez en pleine fête, le genre où la débauche coule à flot. Tu es même avec Alkyone et Horazi, tes compères sans pareil en terme d'amusement. Ce n'était pas forcément évident de passer du poids de l'éternité à une danse endiablée, mais tu n'as pas vraiment laissé le choix à la demoiselle. Le petit jeu que tu mets en place semble lui plaire et peut-être qu'elle aussi y voit l'occasion d'oublier les problèmes et de simplement s'amuser. Ton verre terminé d'un coup sec, tu dois avouer sentir ta gorge te brûler sur le coup. Tu as beau être ancien, ton corps ne s'habitue pas à l'alcool pour autant ou du moins, pas au point de ne pas en ressentir les effets positifs comme négatifs. Tu ris à sa remarque et aussi pour faire passer la sensation de brûlure, ton regard ne la lâche pas parce que tu attends ta réponse. Réponse qui finit par arriver. Un peu fuyante, un peu brouillon, mais tu ne peux pas t'empêcher de sourire en l'entendant timidement exprimer le fait qu'avec toi elle passe du bon temps. « Dis donc, du calme ma belle, on croirait presque que tu vas utiliser le terme d'ami ! » Tu ris pour te moquer un peu d'elle et pour ne pas laisser la gêne l'envahir. Toi aussi tu aimes passer du temps avec elle, toi aussi tu aimes le fait qu'il n'y a rien à penser en sa compagnie. Tu la comprends et ça te fait plaisir.

La danse continue, les questions aussi et bien sûr, c'est à ton tour de devoir y répondre. Un objectif dans la vie ? « Hop hop ! » Tu ne réponds pas de suite, tu te contentes de pointer son verre du regard et de le pousser un peu par en-dessous pour lui rappeler qu'elle doit boire au moins une bonne grosse gorgée d'un coup pour avoir posé une question. Ce sont les règles ! Un objectif dans ta vie... « En fait, j'en ai déjà eu quelques-uns des objectifs. Le dernier en date, c'était de découvrir le monde. » Sacré objectif, pas si ambitieux quand on a l'éternité pour le faire et d'ailleurs tu n'en aurais pas été capable sans ta longévité. Du moins, pas comme tu l'as fait. « Mais il est réalisé et puis, on ne peut pas dire que maintenant ce soit un objectif encore réalisable... » Eh oui, la Brume, cette putain de Brume. « Maintenant, j'en ai pas vraiment. Survivre à tout ce merdier ? Et encore, je suis même pas sûr d'être triste si j'en réchappe pas. Mon objectif pour le moment, c'est de profiter tout simplement ! » L'alcool te pousse à dire ça avec fierté alors que dans les faits, c'est un peu minable ou en tout cas, ça manque d'ambition. Par gêne, tu attrapes le verre d'une inconnue près de vous et tu en bois une grosse gorgée. Elle est tellement saoule qu'elle ne s'en rend pas compte de toute façon. « Oh merde attends, j'ai oublié de poser la question. » Tu ris un peu, continuant à bouger au rythme de la musique. « Et vous, c'est quoi vos ambitions ? A l'une comme à l'autre. » Quel est l'objectif d'un Darkin à l'heure actuelle ? Et que veux Alkyone au milieu de tout ça ? T'es bien curieux de savoir.

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